THÉÂTRELE CERCLE DES POÈTES DISPARUS Ô Capitaine ! Mon Capitaine !
À la fin des années 50, la vie des pensionnaires d’un austère collège du Vermont est bouleversée par l’arrivée d’un professeur de lettres, Monsieur Keating.
Ce pédagogue peu orthodoxe va leur transmettre sa passion de la vie, de la poésie, de la liberté. Il sera le premier à donner le droit à ses étudiants de penser par eux-mêmes et de s’ouvrir à la vie, hors des conventions qu’incarne leur établissement.
Le Cercle des poètes disparus est une réussite absolue. Tant dans son déroulement, parfaitement rythmé, que dans l’interprétation des comédiens, tous excellents et très complices. Nous sommes au théâtre, mais le 7e art n’est pas loin, grâce à un tableau noir surdimensionné de neuf mètres. Des vidéos comme dessinées à la craie et projetées sur cet écran comptent parmi les belles idées du metteur en scène Olivier Solivérès, tout comme la grotte, lieu de réunion du Cercle des poètes disparus.
Le spectacle est un hymne à l’amitié, à la transmission et à la libre pensée. La réplique culte Ô Capitaine ! Mon Capitaine ! résonne toujours et encore, plus de trente ans après le film-événement de Peter Weir qui a ému des millions de spectateurs.
Carpe diem ! Carpe diem ! Carpe diem !
Une pièce magnifique qui nous laisse les larmes aux yeux. Des années
qu’on n’avait pas vu quelque chose d’aussi beau. Le Figaro
volée. Les comédiens sont époustouflants d’énergie et de talent.
Le public, aux anges, applaudit à tout rompre. Le Parisien